A partir d'un scénario élaboré collectivement par Henri Hiro et l'équipe de la maison des jeunes de Papeete, Jean L’Hôte évoque les problèmes de la jeunesse tahitienne à la fin des années 70. Henri Hiro y explique son rôle dans la maison de la culture pour garder les traditions. Il est alors le leader incontestable du renouveau culturel en Polynésie. Avec « Le Château » (1979), il aborde les problèmes de la jeunesse tahitienne en perte de repères identitaires.
Ce film raconte l'histoire de Paraita, jeune Tahitien, qui ne supportant plus le cadre rigide d'une famille protestante, quitte son île natale, attiré par les lumières de la ville, Papeete, où il espère trouver un travail rémunérateur et des distractions.
Non préparé à cette nouvelle vie bien éloignée de celle des îles, il se trouve rapidement confronter aux difficultés de la vie urbaine et ne trouve qu'un travail de manœuvre. Un conflit éclate avec les cousins qui l'hébergent et il s'enfuit. Il rejoint une bande de marginaux vivant a la périphérie de Papeete dans une baraque qu'ils ont construite et surnommée "le château". Ils vivent de petits larcins mais se retrouvent le soir pour chanter. A la suite du vol d'un cochon, Paraita est arrêté. Ses parents, prévenus par les journaux, sont consternés et demandent conseil au pasteur et à l'instituteur de leur île. Ils décident de voyager jusqu'à Papeete où ils confient leurs économies a un avocat sans scrupule interprété par Barral.
Production : FR3 Nord Picardie
Réalisation : Jean L'Hôte
Scénario : Jean L'Hôte, Henri Hiro et l'équipe de la Maison des jeunes
Images : Christian Pétard, Marc Barbier
Son : Jean Claude Leborgne
Montage : Anne-Marie Masquin
Version :
Version mixte : Version française / Version en langue polynésienne (avec sous titre français)
A partir d'un scénario élaboré collectivement par Henri Hiro et l'équipe de la maison des jeunes de Papeete, Jean L’Hôte évoque les problèmes de la jeunesse tahitienne à la fin des années 70. Henri Hiro y explique son rôle dans la maison de la culture pour garder les traditions. Il est alors le leader incontestable du renouveau culturel en Polynésie. Avec « Le Château » (1979), il aborde les problèmes de la jeunesse tahitienne en perte de repères identitaires.
Ce film raconte l'histoire de Paraita, jeune Tahitien, qui ne supportant plus le cadre rigide d'une famille protestante, quitte son île natale, attiré par les lumières de la ville, Papeete, où il espère trouver un travail rémunérateur et des distractions.
Non préparé à cette nouvelle vie bien éloignée de celle des îles, il se trouve rapidement confronter aux difficultés de la vie urbaine et ne trouve qu'un travail de manœuvre. Un conflit éclate avec les cousins qui l'hébergent et il s'enfuit. Il rejoint une bande de marginaux vivant a la périphérie de Papeete dans une baraque qu'ils ont construite et surnommée "le château". Ils vivent de petits larcins mais se retrouvent le soir pour chanter. A la suite du vol d'un cochon, Paraita est arrêté. Ses parents, prévenus par les journaux, sont consternés et demandent conseil au pasteur et à l'instituteur de leur île. Ils décident de voyager jusqu'à Papeete où ils confient leurs économies a un avocat sans scrupule interprété par Barral.
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